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Des études récentes relient l'intensification de la pollution plastique au réchauffement, tandis que des avancées en neurotechnologie modifient les circuits de la récompense. Ces signaux, combinés au recul démocratique dans des pays de pêche et aux arbitrages de la transition énergétique, imposent une gouvernance plus robuste des communs.

Des signaux convergents relient santé, comportements et technologies, du premier décès attribué au syndrome alpha‑gal à l'essor de microrobots thérapeutiques et d'une pile bio‑inspirée. Surtout, des travaux macroéconomiques soutiennent que la décarbonation unilatérale pourrait s'autofinancer pour les États‑Unis et l'Union européenne, tandis que l'économie de l'attention favorise des contenus de moindre qualité.

Des analyses convergentes lient l'accélération du dérèglement climatique à une mortalité immédiate et à des risques sanitaires croissants, tandis que des études sur la perception et les incitations dévoilent des biais qui minent l'efficacité des technologies et des politiques. L'enjeu stratégique consiste à aligner des infrastructures décarbonées, des repères métacognitifs et des mécanismes d'incitation cohérents pour éviter des effets inverses.

Des travaux convergents montrent comment de menues frictions, qu'elles soient biologiques, attentionnelles ou informationnelles, déplacent des comportements individuels et des équilibres collectifs. De l'usage de substances pour dormir à la modulation de l'attention par les écrans, en passant par les cycles monétaires et les signaux écologiques, les données pointent des ajustements urgents des politiques publiques.

Une nouvelle approche de mesure de l'obésité, intégrant la répartition de la graisse corporelle, rebat les seuils et interroge l'accès aux soins. Parallèlement, le temps disponible et la qualité des liens apparaissent comme des facteurs clés de santé et de comportements, avec des implications immédiates pour les politiques publiques et les pratiques en entreprise.